Les fringues m’adorent
J’ai remarqué quelque chose : depuis que j’ai perdu du poids, j’ai dû refaire ma garde-robe. Heureusement, j’ai gardé une quantité astronomique de fringues depuis plusieurs années, même si je ne rentrais plus dedans.
Pendant longtemps, j’ai culpabilisé de faire ça. Ces vêtements taille 38 étaient comme le symbole d’un espoir, au cas où je perdrais du poids un jour.
Aujourd’hui, je suis bien contente de l’avoir fait car je n’ai presque rien acheté de neuf. Je revends facilement les belles pièces que je ne porte plus et j’en rachète de temps en temps, pour me faire plaisir. Il existe beaucoup de magasins et d’applications de seconde main…
Alors, je me demande : est-il possible que je continue à me sentir bien dans mes fringues en apprenant à assembler les pièces que j’ai déjà ? Et si, en 2024, je m’engageais à privilégier la seconde main et à ne rien acheter de neuf de l’industrie textile ?
Un outil de compréhension : Fuck SHEIN
Au moment où j’ai commencé à sérieusement réfléchir à ma consommation de vêtements et à chercher de l’information sur le sujet, j’ai appris qu’une Fashion Week Revolution aurait lieu à Namur en avril : quatre jours d’activités pour sensibiliser à une mode plus responsable (conférences, ateliers, expositions, défilé…).
Aussi, la RTBF a publié sur sa plateforme gratuite Auvio un reportage (en mode caméras infiltrées) sur le fucking géant de l’industrie de la fast fashion : j’ai nommé SHEIN.
Si tu veux comprendre pourquoi c’est nul d’acheter cette marque, je te conseille ce reportage de 45 minutes. Pas le temps ? Ce n’est pas grave : Amistory – une de mes Youtubeuses préférées – a sorti une vidéo de 12 minutes sur le même sujet. A voir !
Le conseil du mois : Vends tes fringues, gagne des thunes
Comment vendre efficacement tes fringues sans que ça te prenne une plombe de les photographier pour les mettre sur Vinted ?
Facile : contacte Pauline de Apikiz ! Grâce à son vide-dressing en ligne, elle te facilite la vente et l’accès aux vêtements de seconde main de qualité à un prix abordable, ce qui contribue à la diminution de la fast fashion. Via son site (en construction mais sur lequel il y a déjà quelques pièces), tu peux consulter son catalogue de fringues et aussi lui envoyer les tiennes gratuitement pour qu’elle les mette en vente.
Magnifaïk! (pas pu m’en empêcher…). Je te conseille de la suivre également sur les réseaux sociaux car des évènements en présentiel auront bientôt lieu.
